Bienvenuesur le site permis de conduire de l'Agence nationale des titres sécurisés. Suivre votre démarche en ligne. Suivre votre démarche en ligne . Votre compte vous permet de suivre l’ensemble de vos demandes. Accéder au service. S'inscrire à l'examen du permis de conduire. Pour se présenter aux examens du permis, il est nécessaire de s'inscrire en ligne. Accéder au
Pour conduire un véhicule motorisé à 2 roues ou à 4 roues, le permis de conduire est requis. Il faut également se préparer financièrement, car l’obtention du permis n’est pas une mince affaire. Les conditions pour obtenir le permis de conduire Pour avoir la possibilité de conduire un véhicule tout seul, vous devez absolument avoir 18 ans révolus. L’apprentissage se passe au sein des établissements spécialisés communément appelés auto-écoles. Tout d’abord, il est obligatoire de passer l’examen du Code de la route qui est un ensemble de règles visant à encadrer la circulation grâce à des panneaux routiers et des marquages au sol. Une inscription pour passer l’examen de conduite est nécessaire si le code s’est bien passé. Plusieurs leçons de conduite sont utiles et le moniteur décidera du moment où vous pourriez passer l’examen de conduite. Lors de l’examen, le moniteur sera accompagné d’un inspecteur et si tout se passe bien le résultat sera connu au bout de 48 h via Internet. Une pièce d’identité avec un certificat d’examen du permis de conduire d’une durée de 4 mois est valable avant la sortie du permis de conduire probatoire valable pendant 3 ans. N’ayant que 6 points au total, le permis probatoire est mis à l’épreuve pendant 1 an et si vous ne faites aucune infraction durant cette période, le nombre de points augmentent de 2 par an. Une fois que les 12 points sont atteints, le permis de conduire définitif peut être obtenu. Les catégories de permis de conduire En France, 4 types de permis de conduire existent et sont eux-mêmes divisés en diverses catégories. Pour les 2 roues ou motos, les catégories sont A, A1 et A2. Les types de véhicules concernés sont les motos légères, les motos à 2 ou 3 roues, les scooters à 2 ou 3 roues et les scooters. Les catégories de permis pour les voitures légères sont le permis B, B1, BE, C1E. Les véhicules concernés sont les voitures de particuliers et les utilitaires ne dépassant pas un PTAC de 3,5 tonnes avec sa remorque attelée. Pour conduire une voiture destinée au transport de matériels ou de marchandises, le permis C, C1 ou C1E est nécessaire. Les véhicules concernés sont les camions qui ne peuvent transporter plus de 8 personnes et dont le PTAC ne dépasse pas 3,5 tonnes avec sa semi-remorque ou remorque. Pour le transport de personnes, le permis D, D1, D1E ou DE est requis. Cette catégorie concerne les bus transportant plus de 8 personnes et les cars avec leur remorque attelée. Le coût du permis de conduire Le prix pour l’obtention du permis de conduire peut varier, car les tarifs fixés par les auto-écoles ne sont pas les mêmes. Vous êtes libre de choisir l’auto-école qui vous convient. Pour un forfait minimum 20 h, la formation classique est tarifée en moyenne à plus de 1 000 €. Ce prix peut dépendre de la localisation. Ainsi, pour Paris par exemple, le coût peut varier entre 900 € et 1 400 €. Concernant les heures supplémentaires, le prix n’est pas non plus le même. À Paris, le coût de chaque heure de conduite supplémentaire est de 50 €. Si vous devez repasser la conduite, car vous avez échoué la première fois, il vous faudra débourser de l’argent supplémentaire qui varie en fonction de l’auto-école choisie.
Cest en 1968 que l’auto-école Loll a vu le jour dans la commune de Bartenheim sous la gérance de Mr Alphonse Loll. En 1974, elle a été reprise par son fils Yves. En 1980, la formation au permis poids lourd est venue compléter les prestations de l’auto-école. En 1998, la formation au permis EB s’est ajoutée aux formations déjà
Publié le 9 novembre 2018 Mis à jour le 22 juin 2022 Ce que tout le monde appelle en général une moto 125 cm3 ou un scooter 125, la législation l’appelle une Motocyclette légère ». Depuis 2011 les lois relatives à la conduite d’une moto 125 ont été modifiées. Dans ce sens, Des conditions plus strictes sont désormais applicables aux personnes souhaitant conduire une motocyclette de cylindrée 125 cm3. Alors, qui peut conduire une 125 ? Quelles sont les conditions pour conduite un scooter 125 cm3 avec un permis B ? On vous explique tout Quel permis pour une moto 125 ? Pour conduire une 125cm3, il faut d’abord être âgé de 16 ans au minimum. Le conducteur doit également être titulaire de l’un de ses permis suivants un permis A1 un permis A2 ou A un permis B permis auto sous réserve de respecter plusieurs conditions. Lire aussi – Quel âge pour quelle mobylette ? Les conditions pour conduire un scooter 125 cm3 Vous pouvez conduire une motocyclette légère ou un tricycle catégorie L5e avec votre permis auto, si vous remplissez les conditions suivantes Vous êtes muni du permis B depuis au moins 2 années. Dans le cas d’une moto à 3 roues de catégorie L5e, vous avez au minium 21 ans. Vous devez suivre une formation pratique de 7 heures En quoi consiste alors cette formation ? Lire aussi Casque deux roues, normes et obligations Le brevet de sécurité routière, ce qu’il faut savoir Gants de motos porter des gants homologués est-t-il obligatoire aujourd’hui? Port du gilet jaune à moto quelles sont les règles? Quel permis pour conduire un Scooter 125 ? La formation obligatoire de 7 heures son déroulement Vous pouvez suivre la formation un mois avant vos 2 ans d’obtention du permis catégorie B. cette La formation dure, bien évidemment, 7 heures. Elle s’effectue dans un établissement ou une association agrée par l’Etat. Cette formation peut se dérouler en une journée ou être divisée en deux demi-journées. La formation obligatoire pour conduire une moto 125 comprend les 3 modules essentiels. Ils se divisent ainsi Le module théorique il dure 2 heures. Le conducteur sera informé sur la conduite dans les conditions difficiles, notamment sur la conduite sous la pluie ou la conduite de nuit. Il fera connaissance avec les équipements et les vêtements protecteurs. Il effectuera, aussi, différentes analyse d’accidents. Le module Hors circulation » comme pour le module théorique, sa durée est de2 heures. Il comprend la découverte de la moto 125, et apprendra par la même occasion comment il doit effectuer les différentes vérifications indispensables au scooter 125. Le module En circulation » il dure 3 heures. Le conducteur prendra les commandes de la moto et s’entrainera sur les différentes adaptations de la vitesse, selon les situations et sur la négociation d’un virage, etc. À l’issue de la formation, le conducteur recevra une attestation et certificat de formation délivré par la moto-école. Sachez bien que l’absence de ce certificat est passible d’une amende de 135 euros ! Il existe néanmoins des exceptions qui vous donnent le droit de conduire une moto 125 cm3 avec votre permis B et sans suivre la formation obligatoire. Découvrez l’assurance scooter mobylette ce qu’il faut savoir Conduire un scooter 125 sans formation les exceptions Si vous êtes dans l’une des situations suivantes, vous êtes exonérés de suivre la formation Vous avez êtes titulaire du permis catégorie B, avec l’équivalence A1, avant le 1er mars 1980. Sachez que si votre permis de conduire comporte la catégorie A1 ou son équivalent européen, vous avez le droit de conduire votre moto 125 dans tous les Etats appartenant à l’Union Européenne. L’administration procèdera automatiquement au renouvellement de votre catégorie A1 quand vous allez remplacer votre permis. Dans ce sens, le 23 mars 2013 le Ministère de l’Intérieur a déclaré que La plupart des permis édités jusqu’au 1er janvier 2011, et certains de ceux qui l’ont été entre le 1er janvier 2011 et aujourd’hui, comportent la catégorie A1 délivrée à tort équivalence, formation… soit sur le titre de conduite, soit dans les données FNPC. Il est donc devenu impossible de retirer ce droit à des personnes qui pratiquent parfois quotidiennement la conduite d’une motocyclette légère, persuadées de le faire dans le respect des règles. Aussi, dès lors que la catégorie A1 est mentionnée soit sur le titre de conduite, soit dans les données FNPC, la pratique est de renouveler cette catégorie en cas de réédition du titre. » En général la majeure partie des permis B obtenus après le 1er mars 1980, possède le permis A1 par défaut. Mais, dans le cas où votre permis ne mentionne pas la catégorie A1 par équivalence, vous êtes, alors, tenu de suivre la formation obligatoire de 7 heures dédiée à la conduite des motos légères 125 et des tricycles de type L5E. Ceci dit, suite à cette formation, vous ne pourrez conduire votre scooter 125 cm3 qu’en France et non dans le reste de l’Union Européenne. Les titulaires d’un permis B depuis au moins 2 ans qui ont déjà été assurés pour une moto de cylindrée 50 à 125 cm3 et ceci quelle que soit la durée de l’assurance. Les conducteurs d’un tricycle de la catégorie L5e et là aussi quelle que soit la durée de cette assurance. Pour en savoir plus Le permis de conduire en France PCI le Permis international pour conduire à l’étranger Tracter une remorque quel permis faut-il ? Lors d’un contrôle routier par les forces de l’ordre, vous devez impérativement présenter votre permis auto accompagné de Votre certificat de formation obligatoire, ou bien de Votre relevé d’informations et attestation d’assurance fournie par votre assureur et certifiant l’antériorité de la conduite d’une moto à deux roues 2 ou d’un tricycle. Sachez que si vous ne respectez pas les réglementations et que vous ne présentez pas vos papiers au complet, vous serez exposé à une sévère amende pouvant aller jusqu’à 750 € et qui peut augmenter en cas d’accident.
Souventoublié dans le coût du permis de conduire, l'équipement constitue pourtant un poste de dépense important. Il vous faudra prévoir entre 300 € et 1250 € pour vous procurer tout l’équipement nécessaire : Casque; Gants; Veste; Chaussures; 3) Comment passer son examen de permis moto A2 à Guignicourt ? Le permis moto A2 donne le droit de conduire une moto
Mise en place du permis et de l'infrastructure Le permis à points avant 1992 portait le nom de certificat de capacité donnant droit de conduire un véhicule à moteur. Au début de son existance, le code de la route fut créé tout comme les panneaux de signalisation et les différentes infrastructures. 1893 Création d'une circulaire ministérielle définissant le certificat de capacité permettant de conduire un véhicule. 1899 Généralisation du certificat de capacité dans toute la France. La carte de grise fait son apparition. Les routes sont limitées à 20km/h en agglomération et 30km/h en rase campagne. 1917 Création des premières auto-écoles. 1921 Le code de la route est établi. 1922 Le certificat de capacité change de nom pour être nommé le permis de conduire. Le premier feu rouge fait son apparition dans les rues de Paris. 1931 Instauration d'une convention internationale concernant la mise en place de panneaux de circulation. Règlementation du permis de conduire vitesse, alcool, ceinture et casque Ce n'est qu'au milieu du 20ième siècle que des limitations de vitesses sont définies. Cela débute en 1954 par la vitesse limitées à 60km/h en agglomération mais il faudra attendre 1974 pour que les autoroutes, les 2x2 voies ou encore les routes hors agglomérations se voient elles aussi réduites aux normes actuelles. 1954 Une réforme importante du permis de conduire a lieu en 1954. Les véhicules sont classés afin de définir les catégorie du permis A1, A, B, C, D, E, et F. Face à la multiplication des véhicules, la vitesse est limitée à 60km/h en agglomération. Les poids lourds sont quant à eux limités à 50km/h. 1958 L'assurance est obligatoire pour tous les conducteurs. 1965 L'alcootest fait son apparition. Le dépistage d'alcool par air expiré est autorisé pour certaines infractions. 1969 Pour les titulaire du permis depuis moins d'un an, la vitesse est limitée à 90km/h. 1970 Les véhicules neufs doivent disposer de ceintures 3 points sur les places avant. Ce ne sera qu'en 1973 que le port deviendra obligatoire à l'avant. Le contrôle du taux d'alcoolémie est pratiqué en cas d'accident ou d'infraction. Une contravention est appliquée lorsque le taux atteint 0,80g/l de sang alors qu'un conducteur fait l'objet d'un délit au delà de 1,20g/l de sang. 1973 Le port de la ceinture est obligatoire hors agglomération pour les personnes situées à l'avant du véhicule. Le casque pour les conducteurs de motocyclettes devient obligatoire. 1974 La vitesse est plafonnée sur les départementales et autoroutes 130km/h sur autoroute 110km/h sur les 2x2 voies 90km/h sur route 1975 Les enfants âgés de moins de 10 ans doivent être situés sur les places arrières du véhicule. 1980 Décret sur le permis moto avec la création de sous-catégorie A1, A2 et A3. 1982 Par temps de pluie, la vitesse est réduite de 10km/h ou 20km/h 110km/h sur autoroute 100km/h sur les 2x2 voies 80km/h sur route 1983 Le seuil du taux d'alcoolémie définissant un délit passe de 1,20g/l de sang à 0,80g/l de sang 1985 Loi portant sur les victimes des accidents de la route afin de faciliter leur indemnisation. 1986 Le contrôle technique est obligatoire même si les réparations restent facultatives. 1987 Réforme du permis de conduire B et de la formation. 1988 La conduite accompagnée est généralisée à tous les départements AAC. 1990 La vitesse est limitée à 50km/h en agglomération. Le port de la ceinture pour tous les passagers est obligatoire même à l'arrière pour les véhicules équipés. Le permis à points Sécurité, prévention et radars Le permis à points est instauré afin de verbaliser et sanctionner les automobilistes ayant commis des infractions dangereuses pour autrui. Les années 2000 sont marquées par l'installation de contrôles sanctions automatisés CSA c'est à dire les radars automatiques. 1993 Création de l'ONISR et mise en place d'une politique de sécurité routière. 1995 Le taux d'alcoolémie maximum légal passe de 0,7g/l de sang à 0,5g/l de sang. 1996 Des bouleversements importants ont lieu pour conduire une moto dont la possibilité de conduire d'une moto de 125cm3 après deux ans de permis B. 1999 Mise en place d'un pictogramme sur les boîtes de médicaments signalant les effets néfastes pouvant altérer la vue et la conduite. 2002 Le 1er système de contrôle sanction automatisé est installé. Les radars font leur apparition. Le permis probatoire est instauré pour les conducteurs venant d'obtenir leur permis. Les sanctions deviennent plus dures envers le téléphone au volant, la ceinture de sécurité, le casque et l'alcoolémie. 2003 Les radars se multiplient en France. La ceinture de sécurité devient obligatoire pour les occupants de poids lourds, d'autocars et d'autobus. Le nombre de points perdus sur son permis augmente avec les infractions du non-port de la ceinture, du casque, du téléphone portable au volant... Le taux d'alcoolémie légal passe de 0,8g/l de sang à 0,5g/l de sang avec un retrait de 6 points sur son papier rose. 2004 Mise en application du permis probatoire. La loi Perben II considère la conduite sans permis et sans assurance comme un délit. Les nouveaux cyclomoteurs doivent être immatriculés. 2005 Le port de la ceinture obligatoire pour les passagers mineurs d'un véhicule léger est sous la responsabilité du conducteur. 2007 Le permis probatoire est réformé avec l'acquisition progressive de points sur son permis au court des premières années de conduite. L'accent est porté sur les deux roues avec l'obligation pour les motocyclettes et les cyclomoteurs de mettre leurs feux de jour. 2008 Le gilet de sécurité et le triangle de présignalisation sont obligatoires dans les véhicules. 2011 Pour les détenteurs du permis B, une formation de 7h est exigée avant la conduite d'une 125cm3. Sensibilisation de l'effet de l'alcool sur les routes avec la mise en place de testeurs du taux d'alcoolémie pour les établissements de nuit servant des boissons alcoolisées. 2012 Les avertisseurs de radars deviennent interdits et sanctionnés. Pour lutter contre l'endormissement au volant, des bandes d'alerte sonore sont déployées sur les autoroutes. 2014 Réforme de l'épreuve pratique. 2015 Première augmentation de la mortalité routière en France depuis 12 ans avec +3,7%. De nouvelles mesures pour la sécurité routière sont annoncées par le ministère de l'intérieur Bernard Cazeneuve avec pour objectif à l'horizon 2020 moins de 2000 morts sur les routes de France. On retiendra parmi les annonces l'interdiction des oreillettes et écouteurs ainsi que la limitation de l'alcoolémie au volant à 0,2g/L de sang pour tous les jeunes conducteurs.
Jai passé le permis A1 en février 1980, donc avant la date bascule de mars 1980; j'ai passé le permis B seulement 4 ans plus tard; rétrospectivement, je me dis que j'ai bien fait de passer le permis A1 assez tôt; néanmoins je me demande si je ne devrais pas quand même passer la formation de 7 heures, même si légalement je n'y suis pas obligé, car cela fait un
C’était mieux avant ». Tout le monde connaît ce refrain, qu’entonnent régulièrement les nostalgiques d’une époque où l’on pouvait rouler pied au plancher sans crainte des radars, où l’essence ne coûtait pas cher, où les voitures affichaient des tarifs raisonnables, et où l’on pouvait au besoin les entretenir soi-même. Ah, le beau tableau ! Mais celui-ci résiste-t-il à la réalité des faits et des chiffres ? Prix des voitures et des carburants, sécurité routière, entretien ou fiabilité, nous avons tout comparé, et ce que nous avons constaté bouscule nombre d’idées reçues. CE QUI VA MIEUX AUJOURD'HUI Acheter une citadine beaucoup moins chère, beaucoup mieux équipée En 1980, une Renault 5 TS était affichée 33 900 francs, soit l’équivalent de 14,6 mois de Smic de l’époque 2 317 FF, source Insee. Pour ce prix, et malgré le statut haut de gamme » de cette version, vous n’aviez ni vitres électriques, ni rétroviseur droit, ni bien sûr ABS. A quoi s’ajoutaient des performances médiocres, et un niveau de sécurité tant active que passive des plus faibles… En 2015, une Renault Clio Zen TCe 90 est facturée - avant ristourne - 16 300 €, l’équivalent de 11,2 mois de Smic. Par rapport à la Renault 5, cela représente l’équivalent d’une baisse tarifaire de 23 % ! Dans l’intervalle, la citadine au Losange a notamment gagné ABS, airbags, climatisation, régulateur de vitesse, antidérapage ESP, ainsi qu’une polyvalence d’usage qui faisait défaut à l’ancêtre. L'avis Caradisiac Acheter une citadine, c'est nettement mieux maintenant. Acheter une familiale pas moins chère, mais bien mieux équipée ! En 1988, une Peugeot 405 SRDT, berline familiale typique de l’époque, s’affichait à 114 400 francs 17 440 €. Si l'on raisonne à euros constants, c’est-à-dire en tenant compte de l’inflation et du montant des salaires source Insee, cela représente la somme de 27 700 €. Son équivalent aujourd’hui, une 508 e-HDi 115 ch Active, est proposée à 29 250 €. Un léger surcoût, certes, mais que compense une dotation enrichie de la plupart des équipements de sécurité et de confort imaginables, tandis que le moteur se montre à la fois plus sobre et plus performant. L’avantage des voitures actuelles se confirme donc. L'avis Caradisiac Acheter une familiale, c'est nettement mieux maintenant. Acheter une sportive pas moins chère, mais tellement mieux ! Les affaires se corsent. En 1980, il fallait débourser 157 500 francs 24 000 € pour acquérir une Porsche 911 SC, soit 65 000 € à euros constants. Or, une 911 coûte aujourd’hui au minimum 92 243 €, ce qui représente une inflation de 43 % pour ce modèle précis. L’on comprend mieux comment Porsche est devenu le constructeur le plus rentable au monde ! Par honnêteté, précisons toutefois qu’un Cayman S photo ci-contre s’affiche à 65 828 €, soit l’équivalent du tarif de la vieille » 911 qu’il domine évidemment en tous points confort, sécurité, performances. Bref, là encore, le client y trouve largement son compte. L'avis Caradisiac Acheter une sportive, c'est mieux maintenant. Même chez Porsche. Arriver indemne à destination nettement plus sûr aujourd'hui En 1972, 16 610 personnes ont trouvé la mort sur les routes de France, soit l’équivalent de la population de Mazamet Tarn. Le 18 mai 1973, pour leur rendre hommage, toute la ville s’allongera pendant 15 minutes dans les rues. L’image fera le tour du monde. Combien de fois avons-nous entendu des proches regretter l’époque bénie » où l’on pouvait traverser la France à 200 à l’heure, et rouler sans craindre qu’un radar ne se cache derrière chaque tronc d’arbre ou dans le coffre de n’importe quel break banalisé ? Nostalgie, quand tu nous tiens… Seulement voilà, un coup d’œil aux statistiques de la période 1970-2011 voir graphique ci-dessous montre - hélas - que seule la mise en place d’un arsenal répressif musclé permet d’améliorer les chiffres de sécurité routière. Ainsi, avant 1978 et la promulgation d’une loi sur la prévention sur l’alcoolémie au volant, plus de 12 000 personnes perdaient la vie chaque année sur nos routes… De même, le déploiement des radars automatiques depuis 2003 a permis une baisse quasi-mécanique du nombre de victimes malgré la légère remontée observée en 2014, la première depuis douze ans. Bref, s’il y a matière à râler quand on constate les abus des forces de l’ordre - oui, ce PV pour 131 km/h retenus sur autoroute déserte par temps sec…- la bonne foi force à reconnaître que des règles plus contraignantes permettent d’obtenir des résultats probants. Source DSCR Toutefois, il est important d’apporter la nuance suivante si la sécurité routière s’améliore, c’est aussi en grande partie grâce aux constructeurs et équipementiers, qui depuis les années 70 ont mis au point ABS, airbags et autres antidérapages type ESP. Bosch estime ainsi que l'ESP dont il est le co-inventeur a permis d’éviter plus de 190 000 accidents et de sauver plus de 6 000 vies depuis qu’il a commencé à se généraliser à la fin des années 90. Précisons que cet ange-gardien électronique est obligatoire depuis le 1er novembre 2014 sur tous les véhicules neufs vendus en Europe. Quant aux pneumatiques, seul point de contact entre la voiture et la route, ce sont des produits de très haute technologie si l’on montait des pneus d’hier sur une voiture d’aujourd’hui, l’on constaterait de très grandes différences en matière de comportement freinage, tenue sur route mouillée…, mais aussi de bruit et de consommation. Il est donc bien dommage que toutes ces entreprises ne fassent pas mieux entendre leur voix face aux discours bêtifiant du tout-radar » des autorités, alors même qu’elles jouent un rôle absolument primordial dans l’amélioration de la sécurité. L'avis Caradisiac Malgré l’augmentation du nombre de morts constatée en 2014 la première après douze ans de baisse, la sécurité routière, c’est mieux maintenant. Mais pas uniquement grâce aux radars ! Avoir un petit accident c'est – généralement - moins grave maintenant Bien que les statistiques de sécurité routière s’améliorent, notamment grâce aux équipements de sécurité active de nos voitures, voir plus haut le risque d’accident existe toujours. C’est la sécurité passive déformation de la carrosserie, airbags… du véhicule qui permet d’amoindrir les conséquences du choc. En l’an 2000, l’organisme Euro Ncap avait notamment crashé » la Peugeot 206, à laquelle il avait attribué quatre étoiles. Celle-ci assurait un niveau de protection correct selon les critères de l’époque, avec toutefois une assez forte exposition du buste, des genoux, en raison notamment de l'absence d’airbags latéraux. A l’épreuve du choc piéton », l’auto ne glanait que deux étoiles sur quatre. En 2012, la Peugeot 208 récoltait 5 étoiles sur 5, et l’on constatait des risques de blessure nettement moindres qu’à bord de la 206. Entre-temps, la citadine au lion a logiquement amélioré sa dotation sécuritaire avec notamment ESP, 6 airbags, régulateur limiteur de vitesse, fixations Isofix à l’arrière ou témoin de non bouclage de ceinture aux places avant ; L'avis Caradisiac Aujourd'hui, même une citadine assure une protection optimale. On a donc bien plus de chances de sortir indemne d'un petit accident. Assurer sa voiture la surprise du chef ! Chaque année, les automobilistes s'insurgent contre ces odieux grippe-sous d'assureurs automobiles qui n'en finissent pas d'augmenter leurs tarifs. Pourtant, les chiffres de l'Insee sont formels entre 1992 et 2014, les tarifs d'assurance auto ont baissé de 17,8 % à euros constants, alors même que la complexité croissante des véhicules est censée en rendre les réparations plus onéreuses. Une constatation qui va à l’encontre des idées reçues, et s’explique en partie par le fait que la sinistralité a considérablement baissé sur la période considérée. L'avis Caradisiac 18 % de baisse entre 1992 et 2014 même l'assurance auto coûte moins cher! Pour une surprise... Faire le plein des prix moins plombés En 1980, le litre de super plombé coûtait 3,30 francs, pour un SMIC horaire à 13,37 francs. Il fallait donc travailler 12,3 heures pour payer un plein de 50 litres. En 2015, le litre de sans plomb coûtait en moyenne 1,51 €, pour un SMIC horaire à 9,61 €. 7,8 heures de travail payé au SMIC permettent donc de régler un plein de 50 litres 4,5 heures économisées ! Contrairement à toutes les idées reçues couramment admises, le carburant coûte - bien - moins cher aujourd’hui. L'avis Caradisiac Contre toute attente, le prix de l'essence a nettement baissé depuis les années 80. De plus, les voitures consomment moins de carburant aujourd'hui. Passer le contrôle technique des voitures plus complexes mais plus solides Moins fiables, nos voitures ? Leur sophistication croissante laisserait logiquement penser qu’elles se montrent plus fragiles que leurs devancières. Mais là encore, l’idée reçue se voit démentie par les chiffres. Les statistiques du contrôle technique montrent en effet que le taux de prescription de contre-visites pour voitures particulières était de 25,9 % en 1992 année de la mise en place du CT, contre 20,3 % en 2001 et 19,05 % en 2013. Bref, alors même que le nombre d’altérations soumises à contre-visite augmentait au fil des ans, l’on a assisté à une baisse constante du nombre de problèmes constatés. L'avis Caradisiac Les statistiques du contrôle technique sont claires malgré une conception toujours plus complexe, les voitures sont globalement plus fiables aujourd’hui. CE QUI NE S'ARRANGE PAS Le prix des péages toujours plus ! Le montant des péages revient régulièrement dans le débat public, en raison de tarifs qui augmentent sans cesse alors même que les coûts d’exploitation du réseau n’évoluent guère d’une année sur l’autre. Ces coûts auraient même tendance à baisser, grâce notamment à l’automatisation croissante des portiques. Pour autant, la hausse des tarifs se poursuit inexorablement, et de façon spectaculaire même sur des périodes courtes. Un exemple parmi des dizaines d'autres, le Paris-Bordeaux coûtait 43,8 € en 2002, ce qui devrait donner à euros constants 52,9 €. Or, il faut aujourd’hui débourser 54,4 €, soit une augmentation supérieure de 3 % à l’inflation sur la période. Pire sur un Paris-Lyon, il fallait payer 25,8 € en 2002, ce qui devrait donner à euros constants 31,15 €. Or, on est à 33,3 €, soit une augmentation supérieure de 7 % à l’inflation ! Or, totalisant moins de 7 % des accidents mortels, l’autoroute est de loin la voie la plus sûre. A ce titre, il n’est pas normal que son usage s’apparente peu à peu à un luxe, notamment pour les jeunes conducteurs qui sont une population particulièrement exposée au risque routier. L'avis Caradisiac Prendre l’autoroute, cela coûtait moins cher hier...et ça ne va pas s’arranger ! Beaucoup de gens délaissent l’autoroute au profit du réseau secondaire, où la sécurité est moindre. Il s'installe peu à peu une ségrégation par l’argent difficile à admettre. Stations-service toujours moins nombreuses On ne trouve plus que 11 000 stations-services dans l'Hexagone, alors qu’elles étaient 47 000 en 1975. La France compte désormais l’un des réseaux les moins denses d’Europe, en conséquence de quoi l’on estime que 17 millions d’automobilistes doivent parcourir plus de 5 km en moyenne pour accéder à une pompe. L'avis Caradisiac 76 % de stations-service en moins depuis 1975 remplir son réservoir, c’était plus facile avant. Faire entretenir sa voiture le coup de fusil Aïe ! Parmi tous les postes de dépenses examinés lors de notre enquête, c’est celui de la main d’œuvre où les tarifs se sont le plus envolés. En 1992, une heure de main d’œuvre mécanique était facturée en moyenne 26 € source Insee, soit l’équivalent de 37 € en 2014. Problème en 2014, la même heure de main d’œuvre mécanique est facturée en moyenne 75 €. En d’autres termes, le montant de la prestation a doublé sur la période considérée, sans que cela soit justifié par un travail devenu deux fois plus difficile. Certaines tâches basiques - remplacer une ampoule de phare, par exemple - sont certes devenues un peu plus complexes et obligent souvent à faire appel aux services de professionnels, lesquels trouvent ainsi une excellente justification à cette hausse vertigineuse des tarifs. Mais nous considérons pour notre part qu’il s’agit de pure mauvaise foi, dans la mesure où l’on constate une évolution identique sur l’heure de main d’œuvre carrosserie ». Or, la tôle reste de la tôle et la peinture de la peinture... L'avis Caradisiac Rares sont les secteurs qui ont augmenté leurs tarifs de 100 % entre 1992 et aujourd'hui. On peut donc saluer » nos chers garagistes, dont on espère qu'à ce prix ils utilisent des clés à mollette plaquées or ! BILAN globablement mieux qu’hier... et moins bien que demain ? Toujours plus sûre, toujours plus propre grâce à des normes de plus en plus sévères et au développement des motorisations électriques et hybrides, et pourtant de moins en moins onéreuse ces quarante dernières années, l’automobile a progressé à pas ou tour de roues… de géant. Certes, tout n’est pas parfait, avec notamment des stations-service bien plus rares et, surtout, des réparations terriblement plus onéreuses, mais la tendance de fond est là. Le progrès ne vaut que s’il est partagé par tous », disait Aristote, et vingt-cinq siècles plus tard nos pas si chères voitures en apportent une parfaite illustration.
Notezque ledit permis devra être délivré avant la date du 1er mars 1980. En plus d’un permis B, la deuxième catégorie de personne doit avoir fait une assurance qui couvre une période de cinq ans sur une moto à 2 roues légères ou un scooter à 3 roues. Évidemment, ladite assurance doit être antérieure à 2011. Par ailleurs, il est important de souligner que le permis B est une
La mairie échange coût du permis contre une offre de services Le permis de conduite coûte cher et pourtant il est aujourd'hui indispensable. C'est sur ce constat Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1€ à notre offre numérique. Sans engagement de durée. ESSAYER POUR 1€ Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Se connecter
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Si l’on vous pose la question suivante Est-ce que posséder une voiture coûte moins cher aujourd’hui qu’hier ? ». D’emblée, on répond à l’unanimité que de nos jours il n’a jamais été aussi onéreux de rouler entretien, assurance, carburant, taxes diverses, péage, … la liste est longue ! Et pourtant… Laquelle de ces deux périodes est la plus avantageuse ? L’automobile fait bien partie du top 3 des postes de dépenses des ménages français avec 15,7 % du budget qui y est alloué l’alimentation 16,8 % et le logement 16,2 % selon l’Insee. Toutefois, le contribuable profite de la démocratisation de ce bien de grande consommation à l’image de la télévision, l’électroménager, l’informatique, …, car les prix baissent. Pour arriver à ce constat, il faut regarder le temps de travail nécessaire à l’acquisition d’un véhicule neuf. Et si l’on se penche sur les 30 dernières années, le prix a bien augmenté, mais si l’on traduit le prix de vente en nombre d’heures travaillées en tenant compte du salaire moyen de l’époque, une Renault est devenue bien plus accessible à l’achat. Ainsi, si l’on compare le pouvoir d’achat en 1981 pour une Renault 5 de base 34 ch à celui de 2011 pour une Clio 1,2 l 75 ch Alizé, on obtient Année 1981 2011 Modèle Renault 5 L 3 P Renault Clio 1,2 l 75 Alizé 3 P Prix 4 314 € 28 300 francs 9 990 € Salaire 6,3 mois nécessaires 4,9 mois nécessaires Salaire moyen 687 € 2 029 € Voici donc le piège dans lequel il ne faut pas tomber ! Ce n’est pas parce que le petite citadine au losange coûtait deux fois moins cher par rapport à celle qui se vend aujourd’hui, qu’elle était plus accessible, loin de là ! Et c’est sans compter que l’automobile a fortement progressé équipements de sécurité ABS, ESP, airbags, …, de confort climatisation, GPS, …, habitabilité en hausse tout comme les performances… Seulement, il y a un hic, car oui avoir une auto c’est bien un coût loin d’être négligeable, et dont le montant ne cesse de progresser. Ainsi, si devenir propriétaire d’une voiture n’est relativement pas difficile, les problèmes arrivent lorsqu’on chiffre l’argent demandé pour s’en servir. Quand on sait que dans les ateliers les tarifs ont plus que doublé depuis trente ans et que le prix des pièces détachées explose, on tient déjà une partie des coupables… Et c’est sans compter sur les finances nécessaires pour l’essence ou le diesel qui ne cessent d’augmenter. On ajoute à cela une bonne couche de taxes, et le tour est joué, l’industrie automobile européenne voit rouge ! Adrien Sallé Intéressé par l'automobile depuis mon plus jeune âge, je suis le fondateur du site Abcmoteur me permettant de continuer à faire vivre ma passion et à la partager avec vous. Ici, tout sujet peut être abordé, du moment qu'il soit en rapport avec la thématique l'automobile ! Articles susceptibles de vous intéresser
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coût du permis de conduire en 1980